Titre : Le hussard amoureux, La pucelle de Diable-Vert, T2
Auteur : Paul Beorn
Editeur : Mnémos
Nombre de pages : 246
Pour retrouver son baba enlevé par la Sylve renégate, Jéhanne est prête à tout : affronter la mort, son passé tragique, l'opprobre et même le ridicule s'il le faut. Au cœur d'un royaume qui sombre dans la guerre et la Grande Ruine, elle tente vaillamment de résister et d'offrir un peu d'espérance à ceux qui acceptent de l'écouter. Il y a l'aide d'Abel de Royale-Terre et celle de la voix mystérieuse qui la soutient lorsque tout semble perdu, mais sauver baba ne suffira peut-être pas ; les Hommes-pourris envahissent le monde de leur puant désespoir, et la race des humains risque de disparaître à jamais.
Vous aimerez :
- l'ambiance de conte
- l'histoire d'amour à taille humaine
- les méchantes sorcières
Vous n'y trouverez pas :
- de gentilles sorcières (oh que non...)
- de grandes batailles épiques à chaque chapitre
- un roman dénué de deus ex machina
Mon avis ?
Ce roman a le parfum des grandes épopées, mais ses personnages restent à taille humaine.
Le tome 2 continue droit sur la lancée du 1 : on reprend pile là où on a laissé Jéhanne, la pucelle, et Abel, la perle. Heureusement que j'avais ce tome 2 sous la main au moment de finir le tome 1, sans cela, j'aurais commis un librairicide...
J'ai dévoré les pages, sans regarder l'heure ni prendre le temps de m'arrêter entre deux chapitres. J'ai parfois grincé des dents, à cause de certains retournements de situations trop soudain (les fameux deus ex machina), mais, au final, l'atmosphère de conte participe à justifier ces fameuses surprises scénaristiques. Cela reste dans la logique du conte, où l'espoir est permis même quand tout semble perdu : une force extérieure sera toujours là pour nous sauver.
Et le style... ce style ! Je ne sais pas si c'est parce que je m'en étais complètement imprégnée en lisant le tome 1, ou si l'auteur a gagné en maîtrise d'un tome à l'autre, mais alors c'était... beau, puissant, poignant. De ce point de vue, La pucelle de Diable-Vert constitue un ovni littéraire !
C'est une très très belle conclusion à ce récit vraiment poignant. Je regrette simplement la rapidité de la fin. Au lieu d'un épilogue, j'aurais aimé un long et lent chapitre de conclusion. Il me reste, sur les lèvres, un goût de "trop peu"...
Mais, au final, c'est plutôt positif quant à mon avis sur le roman. ^^
4/5
Lien vers la critique du T1.
Auteur : Paul Beorn
Editeur : Mnémos
Nombre de pages : 246
Pour retrouver son baba enlevé par la Sylve renégate, Jéhanne est prête à tout : affronter la mort, son passé tragique, l'opprobre et même le ridicule s'il le faut. Au cœur d'un royaume qui sombre dans la guerre et la Grande Ruine, elle tente vaillamment de résister et d'offrir un peu d'espérance à ceux qui acceptent de l'écouter. Il y a l'aide d'Abel de Royale-Terre et celle de la voix mystérieuse qui la soutient lorsque tout semble perdu, mais sauver baba ne suffira peut-être pas ; les Hommes-pourris envahissent le monde de leur puant désespoir, et la race des humains risque de disparaître à jamais.
Vous aimerez :
- l'ambiance de conte
- l'histoire d'amour à taille humaine
- les méchantes sorcières
Vous n'y trouverez pas :
- de gentilles sorcières (oh que non...)
- de grandes batailles épiques à chaque chapitre
- un roman dénué de deus ex machina
Mon avis ?
Ce roman a le parfum des grandes épopées, mais ses personnages restent à taille humaine.
Le tome 2 continue droit sur la lancée du 1 : on reprend pile là où on a laissé Jéhanne, la pucelle, et Abel, la perle. Heureusement que j'avais ce tome 2 sous la main au moment de finir le tome 1, sans cela, j'aurais commis un librairicide...
J'ai dévoré les pages, sans regarder l'heure ni prendre le temps de m'arrêter entre deux chapitres. J'ai parfois grincé des dents, à cause de certains retournements de situations trop soudain (les fameux deus ex machina), mais, au final, l'atmosphère de conte participe à justifier ces fameuses surprises scénaristiques. Cela reste dans la logique du conte, où l'espoir est permis même quand tout semble perdu : une force extérieure sera toujours là pour nous sauver.
Et le style... ce style ! Je ne sais pas si c'est parce que je m'en étais complètement imprégnée en lisant le tome 1, ou si l'auteur a gagné en maîtrise d'un tome à l'autre, mais alors c'était... beau, puissant, poignant. De ce point de vue, La pucelle de Diable-Vert constitue un ovni littéraire !
C'est une très très belle conclusion à ce récit vraiment poignant. Je regrette simplement la rapidité de la fin. Au lieu d'un épilogue, j'aurais aimé un long et lent chapitre de conclusion. Il me reste, sur les lèvres, un goût de "trop peu"...
Mais, au final, c'est plutôt positif quant à mon avis sur le roman. ^^
4/5
Lien vers la critique du T1.
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